Le narrateur s’appelle Mahmoud et vit dans le camp d’Aïda en Cisjordanie. Il tient une petite épicerie familiale et passe son temps à lire et dessiner.
Son point de vue vient se heurter à un mur de 700 kms de long que ses dessins et lectures ébrèchent comme un espoir de liberté et d’évasion. L’arrivée de la jeune Audrey, une étudiante française lui donne alors du baume au coeur. Le dessin est fin et délicat et les couleurs (beige et kaki) accentuent le contexte militaire de l’histoire.
Un constat amer sur le conflit israélo-palestinien avec une once d’espoir et d’humanité.
2010
À retrouver (entre autres) à la Bibliothèque des Champs Libres.
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