“Tout cet album trippy, plein et harmonieux, semble suivre des sillages secrets, des grands courants sous-marins ou aériens à travers les musiques d’un monde enfin rond. Le sommet (ou l’abysse ?) de Homeland, c’est peut-être le bien-nommé Dream : on croit entendre Donna Summer ravie par une confrérie soufie de Jamaïque ou le peuple de l’Atlantide, une pure et poreuse chanson d’extase tantrique, qui altère définitivement les barrières musicales et cette manie de se demander ce qu’on écoute. Une perte de repères dans laquelle on se trouve bien, fondu dans les mouvements d’une transe onirique. Hindi Zahra cherchait la transe, elle a découvert comment planer au-dessus des tempêtes.” Extrait de la chronique sur www.lesinrocks.com
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