La soustraction des possibles est le roman du fric et de l’amour. Du fric : celui qu’Aldo, professeur de tennis, convoie entre la France et la Suisse, sur proposition de sa maîtresse, Odile, la femme d’un homme d’affaire complaisant. D’amour : celui qu’Aldo va connaître avec Svetlana, financière croisée sur la route des valises , en quête d’argent et de reconnaissance.
2020 – Finitude
L’avis de Claude L.
Ce roman, c’est d’abord une critique acerbe de certains milieux comme la banque ou bien les ultra-riches, des milieux où l’argent est roi et surtout synonyme de pouvoir. Des actes immoraux jusqu’à la grande criminalité, l’auteur montre les répercussions pouvant découler de cette course à l’argent et au pouvoir. Le rythme est parfait et ne laisse aucun répit au lecteur. La narration est soignée avec un style qui semble bien caractéristique de l’auteur à base de digressions savamment dosées. Même la couverture est significative (couleur OR).
L’avis de Jacqueline V.
Un professeur de tennis gigolo, une jeune employée de banque ambitieuse, la femme bourgeoise d’un riche banquier qui investit dans les OGM, des membres de la mafia corse qui blanchissent de l’argent sale sont les principaux personnages de ce thriller et roman d’amour qui se déroule au début des années 1990 en Suisse.
Ouvrage très bien construit et très intéressant. A découvrir même pour ceux qui ne lisent que très peu de thrillers.
À retrouver (entre autre) à la Médiathèque de Bruz
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