A l’occasion de la sortie du dernier album du groupe de Manchester contemporain de Joy Division, avec lequel il a tourné et été signé sur le célèbre label Factory, j’ai réécouté leur impeccable discographie qui vient donc s’embellir d’un nouvel album et d’un superbe coffret rétrospectif.
Le groupe de post punk reste fidèle à sa formule de fusion et d’hybridation des genres qui fonctionne depuis plus de 40 années maintenant avec un groove très identifié. On passe de l’acid house au funk industriel sans que cela soit indigeste ni redondant.
L’occasion d’entendre pour la dernière fois la magnifique voix de la chanteuse soul Denise Johnson, décédée cet été, qui avait déjà collaboré avec le groupe sur Be what you wanna be et dont la sortie de son album posthume Where does it go sur Picadilly Records ne saurait tarder.
Mute Records, 2020.
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