Il apparait difficile de produire et réaliser une bonne série horrifique (American horror story, Wolf creek…).
Penny dreadful tient aisément le haut du pavé dans un registre gothique, manichéen et romantique qui fleure parfois une sensualité et une décadence exacerbées. Quoi de plus normal puisque la série s’amuse à revisiter les mythes de la littérature anglaise du XIXème siècle comme Frankenstein, Dracula, Dorian Gray (Les penny dreadful étaient des petits livres qui regroupaient des histoires macabres qui se vendaient dans la rue et coûtaient quelque pennies).
Quelques scènes à la hauteur de L’exorciste, avec les impeccables Timothy Dalton et Eva Green, occasionnent de vrais moments de peur rarement éprouvés à la télévision.
2015-2017
À retrouver (entre autres) à la Bibliothèque des Champs Libres.
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